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DANS LES MÉDIAS
| | Le Magazine de COALLIA DECEMBRE 2015La socio-esthétique au CADA de Nanterre Demandeurs d'asile et de bien-être
A Nanterre, grâce au soutien de la fondation l'Orée l'accueil et l'accompagnement des demandeurs d'asile prennent une nouuelle dimension. Ou comment l'image de soi agit comme puissant moteur d'intégration.
La socio-esthétique au CADA de Nanterre Demandeurs d'asile... et de bien-être
A Nanterre, grâce au soutien de la fondation l'Orée l'accueil et l'accompagnement des demandeurs d'asile prennent une nouuelle dimension. Ou comment l'image de soi agit comme puissant moteur d'intégration.
Face à son miroir. Bafodé répète les gestes simples de la socio-esthéticienne : d'un coton imbibé de lait dans chaque main, il nettoie doucement sa peau. A ses côtés, trois autres résidents du Cada''.Rouget-de-Lisle de Nanterre, des hommes, effectuent les mêmes gestes doux et appliqués devant le petit miroir posé sur leur table.
"Quand Bafodé est arrivé au Cada l'an dernier, sa peau sèche et grise, parsemée de boutons, disait sa souffrance et sa détresse", se souvient Sandrine Weber, socio-esthéticienne intervenante au Cada, qui l'avait alors reçu dans ses premiers ateliers en tant que stagiaire. Alors qu'il vient d'obtenir le statut de réfugié, Bafodé arbore aujourd'hui une peau lisse et d'un beau brun sombre... "Avec ces ateliers, il s'agit de retrouver le plaisir de s'occuper de soi, poursuit Sandrine, pas uniquement dans un but personnel mais parce que cette approche centrée sur le bien-être de la personne, agit in fine sur son intégration."
Loin d'être futile, l'approche a toute sa place dans un parcours d'intégration. "Nous souhaitons que les usagers considèrent leur séjour au Cada comme un temps de formation et non pas comme un temps d'attente", explique Soïchi Yano, Intervenant d'action sociale. "Nous les encourageons ainsi à pratiquer des actions bénévoles en adéquation avec leur parcours professionnel. Très vite, ils retrouvent un sentiment d'utilité et de fierté. La socio-esthétique complète ce parcours : les interventions abordent le soin de la peau du visage, des mains, des pieds, mais aussi les codes de la société française à travers la tenue vestimentaire, l'attitude en entretien d'embauche, la façon de parler, le langage du corps".
Certes les usagers ont vite manifesté leur intérêt pour ces ateliers mis en place dès 2014. Il a fallu néanmoins les pérenniser au-delà du partenariat établi avec le Codes permettant l'accueil de stagiaires socio-esthéticiennes. C'est la fondation L'Oréal qui a apporté les financements providentiels, complétés par une aide du conseil départemental. Soit 28000€ qui ont permis l'embauche de Sandrine Weber pour ouvrir, à 90 bénéficiaires, des cycles de 3 mois alternant soins individuels et ateliers collectifs. "Nous faisons signer un contrat d'engagement à chaque participant. C'est important pour les mobiliser tout au long du cycle", insiste Soïchi Yano.
Ainsi, en sept séances, chacun bénéficiera de trois soins individuels et quatre ateliers collectifs sur le soin de la peau, l'hygiène, les recettes simples pour la fabrication de produits de beauté maison, les techniques d'auto-massage du visage, la posture, le parfum, la mise en valeur de son visage ou encore la relaxation et la respiration. De quoi retrouver un peu d'assurance dans ce parcours de longue haleine qu'est l'intégration : "je faisais tout cela de manière quelque peu hasardeuse, ce qui m'amenait parfois à douter... J'ai retenu entre autres que le bleu est la couleur préférée des Français et qu'elle permet de se rapprocher d'eux", détaille Bafodé, qui avoue également avoir éprouvé des difficultés à adopter certains réflexes, comme regarder son interlocuteur dans les yeux. "Un exercice très éprouvant, surtout pour un Peul, à qui on apprend le contraire dès l'enfance", mais qui lui apporte "à coup sûr un réel changement dans son comportement quotidien vis-à-vis des Françaises et des Français".
SORTIR DE L'OMBRE
"Depuis mon arrivée de Syrie, je vis ici comme une ombre", explique Hassan, quinquagénaire soigné, résident du Cada depuis 2 mois. "Je participe à ces ateliers plus pour la chaleur humaine qu'ils m'apportent que pour leur contenu, car en réalité je connais déjà bien tout cela. En tant qu'architecte, je sais prendre soin de mon apparence physique, je connais l'Europe et ses codes pour y avoir voyagé régulièrement. Ce qui m'apporte un réel soutien, c'est l'énergie positive de Sandrine, son sourire, et ce temps de partage qui me détourne de mes angoisses."
Déborah Poulvelarie - Responsable communication |
| | La Lettre d'ALIS - N°27 - Août 2015Retrouver l'envie et le plaisir de prendre soin de soi et de plaire...avec l'aide d'une socio esthéticienne « La socio esthétique » est une pratique de soins esthétiques proposés à des personnes fragilisées, souffrantes, atteintes dans leur intégrité physique, psychique ou en détresse sociale" Retrouver l'envie et le plaisir de prendre soin de soi et de plaire...avec l'aide d'une socio esthéticienne« La socio esthétique » est une pratique de soins esthétiques proposés à des personnes fragilisées, souffrantes, atteintes dans leur intégrité physique, psychique ou en détresse sociale"
" Cette activité s'inscrit dans des projets de vie, en équipe pluridisciplinaire des établissements medico- sociaux et hospitaliers (MAS, EH PAD, Centre hospitalier...). La socio esthéticienne apporte un accompagnement complémentaire dans la prise en charge globale de la personne, un accompagnement corporel de la souffrance par l'écoute du corps, le toucher, les modelages relaxants, apaisants, pour un mieux-être, redécouverte de son corps, des soins du visage pour retrouver une peau équilibrée. Cette première partie est proposée aux messieurs. Pour les dames, nous continuons le soin en proposant des maquillages bonne mine, pose de vernis à ongles, des épilations, c'est un ensemble de choses qui aideront à retrouver une féminité dans un corps meurtri.
Le travail de la socio esthéticienne consiste à accompagner et aider à la reconstruction de l'image de soi, altérée par la souffrance et les modifications corporelles. Ce corps, en bon état de santé, nous quitte, atteint soudainement par la maladie, le handicap, le vieillissement. Il devient un lieu de soins, manipulé, douloureux, il ne nous appartient plus !
Ce corps si familier, NOTRE corps, devient étranger, effrayant... est-il possible de vivre décemment dans un corps qui régresse !
J'ai accompagné pendant 5 ans à la MAS de Château Thierry, établissement de la fédération des APAJH, une jeune femme victime d'un LIS à 22 ans. Elle était souvent heureuse de venir en séances de socio esthétique.
Des instants remplis d'émotions, Magalie passait du rire aux larmes, ces moments de lâcher prise provoqués par le toucher, la musique douce, d'agréables odeurs de parfums qui transportent... un endroit agréable propice aux échanges, à la confiance dans la relation duelle, au laisser-aller.
Dans des moments de mal-être très forts, son impossibilité à exprimer la douleur de tout son corps, des pleurs inconsolables.., je pouvais l'apaiser avec du temps passé près d'elle, un modelage crânien et des épaules auxquels Magalie était très sensible, c'est ce qui l'aidait à venir à bout de ses intenses colères, de son refus de communiquer avec ses yeux.
Magalie a fermé ses jolis yeux le 7 juin dernier. »
FORMATION À LA SOCIO ESTHÉTIQUE
Il faut être titulaire d’un diplôme d’état en esthétique cosmétique, BP ou BTS, avoir une expérience suffisante, avoir pratiqué et développé des compétences techniques et surtout avoir envie d’exercer son métier « autrement » dans un service hospitalier, médico-social ou social.
Le CODES est l'unique association en France à délivrer le titre RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) de socio esthéticienne depuis 1971. Elle est hébergée au sein du CHU de Tours et de l'Hôpital National de Saint-Maurice (www.socio-esthetique.fr).
Les cours sont orientés vers une formation psychologique adaptée aux patients, une connaissance des pathologies et problématiques des personnes, les régles strictes spécifiques aux soins hospitaliers et les spécificités de travail len équipe pluridisciplinaire.
La formation comprend 17 semaines, soit 602 heures et un temps de travail personnel estimé à 120 heures. L'enseignement est en alternance de théorie et de mises en situations pratiques en groupe et/ou en individuel, encadrés ou libres. Son ancrage dans les milieux médicaux, sociaux et associatifs s'explique notamment grâce à son réseau d'ancien(ne)s élèves qui travaillent dans des structures très variées. Le titre de "socio esthéticienne CODES" représente un label de qualité reconnu par les professionnels du monde médical et social.
Cahterine GRISON
grisonapajh@hotmail.fr
Diplômée : Aide médico psychologique et esthéticienne-cosméticienne, Socio esthéticienne. Salariée à la MAS de Château Thierry depuis 9 ans, intervenante extérieure au sein de la formation CODES à Tours pour le diplôme des socio esthéticiennes et maître de stage.
Mme Grison remercie les parents de Donovan d'accepter la publication de cette photo.
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| | Journal La Montagne - Aurillac 13/11/ 2015Soins esthétiques pour corps meurtris Cécile Ricard offre du bien-être aux patients du centre médico-chirurgical de Tronquières Soins esthétiques pour corps meurtrisCécile Ricard offre du bien-être aux patients du centre médico-chirurgical de Tronquières Dans le petit salon aux murs nus, elles sont quatre, assises dans de grands fauteuils blancs.
Quatre femmes fatiguées qui discutent doucement de leur maladie et de la vie qui continue malgré les perfusions. Malgré le cancer.
Sur le visage de Béatrice un sourire apparaît. « C'est fou ce que ça fait du bien, ça détend, ça délasse... » Même si elle a une petite préférence pour les soins du visage, c'est un massage des mains qu'elle a réclamé ce matin à Cécile Ricard Pour hydrater sa peau, si sèche, et ses ongles, si fragiles. Et surtout pour le plaisir de retrouver des sentions oubliées depuis l'intrusion de la maladie dans sa vie de femme.
"Le corps subit beaucoup de dégâts avec le cancer et la chimiothérapie explique Cécile Ricard. Il faut aider les patients à mieux s'accepter avec les mutilations, les convaincre qu'on peut les toucher sans leur faire mal".
L’esthéticienne aurillacoise en a fait son métier. Lassée de vendre du « rêve » en institut, elle a suivi une formation en socio esthétique dans une école spécialisée rattachée à la faculté de médecine de Tours. Elle y a acquis des connaissances en cancérologie, en psychologie, en dermatologie…
De retour dans le Cantal, il lui a fallu « un long travail de communication » pour faire connaître cette pratique professionnelle dans le milieu médical. Un travail qui finit par payer. En 2011, le CMC de Tronquières lui ouvre les portes des services d’oncologie et de chimiothérapie ambulatoire. Quatre heures par semaine, Cécile Ricard met ses compétences à la disposition des malades, gratuitement. C’est le Comité de la Ligue contre le cancer qui finance ces soins de support avec l’ambition de redonner aux malades une image positive d’eux-mêmes.
« On traite le malade, pas seulement la maladie, approuve Michel Kareh, oncologue médical au CMC. Au-delà de l’acte technique, il nous appartient d’accompagner nos patients, de les aider à supporter le traitement moralement ».
En chimiothérapie, le mercredi, pour les femmes le plus souvent, pour des hommes plus rarement, cet accompagnement peut prendre la forme d’un soin, d’un modelage, d’un maquillage ou de simples conseils pour reconstruire un sourcil.
Cécile Ricard s’adapte aux demandes des malades. Elle répond aussi aux suggestions des infirmières, qui peuvent l’orienter vers un patient qu’elles trouvent un peu tendu.
« On peut les toucher sans leur faire de mal »
Elle a aussi ses habitués. Comme Sylvie. Deux cancers du sein en un an et un mauvais souvenir d’une hospitalisation à l’Institut Curie. « Personne pour m’aider à faire ma toilette, à me laver les cheveux… j’étais dans un sale état ». Alors Sylvie savoure ce soin du visage que lui offre Cécile Ricard. « Comment ne pas apprécier ? Elle nous dorlote et pendant ce temps on s’évade… ».
Ce qui n’a « rien d’accessoire » insiste le docteur Kareh. « Qu’on s’occupe d’une patiente, ça l’aide à sentir qu’elle reste une femme. Ce n’est pas un luxe ! ».
Hôpital d’Aurillac : Grâce au financement de la Ligue contre le Cancer, la socio esthéticienne Cécile Ricard interviendra dans le service de chimiothérapie à compter du 16 novembre, deux heures par semaine.
Journal La Montagne Aurillac – 13 novembre 2015 – Isabelle Vachias |
| | L'Est Républicain - Lunéville - 02/11/2015Lunéville : Une petite bulle de bien-être avec la socio-esthéticienne Laura Lamy-Kalèche et la Ligue contre le Cancer Pour le compte de la Ligue, Laura Lamy-Kalèche, socio-esthéticienne, reçoit des personnes souffrantes ou ayant souffert de cette maladie. Lunéville : Une petite bulle de bien-être avec la socio-esthéticienne Laura Lamy-Kalèche et la Ligue contre le CancerPour le compte de la Ligue, Laura Lamy-Kalèche, socio-esthéticienne, reçoit des personnes souffrantes ou ayant souffert de cette maladie. Une voix douce, un grand sourire, une ambiance chaleureuse. Deux matinées par mois, Laura Lamy-Kalèche installe, à l’espace Guy-Corbiat, ses pots et sa table de couleur, son paravent et diffuse une musique relaxante… « Partout où je vais, que ce soit dans un bureau ou une grande salle, j’essaie de recréer un petit cocon », explique la jeune habitante de Domjevin, qui officie pour le compte de la Ligue contre le cancer en tant que socio-esthéticienne.
« Je pratique des soins esthétiques auprès de personnes qui ont été atteintes dans leur intégrité physique, psychique ou sont en détresse morale », précise-t-elle. « Cela fait partie des soins de support proposés par la Ligue contre le cancer ».
« Je suis là pour les aider à avoir une bonne image d’elle-même et une bonne estime malgré les effets indésirables du traitement. »
Le temps d’une heure, elles passent entre les douces mains de Laura : « Pendant les soins de socio-esthétique, le toucher de bien-être apporte de la détente : cela permet de sentir que son corps peut ressentir autre chose que la douleur ». Les soins du visage et des mains ont le plus de succès. Même si certaines personnes demandent tout de suite un modelage relaxant du corps.
Maquillage correcteur
« C’est un moment où elles peuvent souffler et tout relâcher. Elles se mettent à nu et disent des choses pertinentes, d’où le travail en lien avec les psychologues : il faut passer la main à chaque profession. Je suis aussi là pour les conseiller au-delà du soin, avec du maquillage bonne mine, du maquillage correcteur, pour les sourcils quand il n’y en a plus. Mais, surtout, ne pas poser de faux cils : la colle est trop abrasive. »
La jeune femme leur suggère aussi de porter des gants pour faire le ménage afin de protéger la peau qui s’assèche et les ongles qui risquent de tomber avec la chimiothérapie. « Nous travaillons en pluridisciplinarité : les infirmières peuvent leur procurer des produits à appliquer pour limiter les effets secondaires. Elles leur expliquent aussi le traitement et les effets, et les dirigent vers moi et une nutritionniste. »
Pas de programme préétabli pour Laura Lamy-Kalèche : « Les personnes me disent ce qu’elles veulent comme soin : je suis là pour leur faire plaisir. C’est une petite bulle de bien-être. J’aime bien quand elles me disent qu’elles oublient où elles sont : mon but est de les faire voyager. »
D’autres du maquillage
La jeune femme, qui se partage entre les séances à Lunéville, Vandoeuvre, au centre d’oncologie de Gentilly, mais aussi à l’hôpital pour enfants de Brabois, intervient dans ce dernier lieu auprès de jeunes malades âgés de 18 mois à 21 ans. « Chez les ados, j’ai autant de filles que de garçons. Alors que chez les adultes, ce sont surtout des femmes qui demandent à me rencontrer. »
Corinne SAÏDI-CHABEUF
Une formation spécifique :
Titulaire d'un CAP et d'un BP esthétique, Laura Lamy-Kalèche a toujours voulu exercer son métier en milieu hospitalier. En 2012, après avoir travaillé en institut, elle a suivi une formation spécifique au sein du CODES (Cours d'esthétique à option humanitaire et sociale à TOURS), la seule association à proposer ce type de formation. Salariée de l'association "Image de soi" de Domjevin qui la met à la disposition de la Ligue contre le Cancer, cette Alsacienne d'origine intervient aussi pour l'Association Française des Traumatisés Crâniens Lorraine et dans une maison de retraite à Laxou.
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| | La Dépêche du Midi - 28/10/2015Les Roqueuses sensibilisées à "Octobre Rose" L'Association «Les Clés du Bien Etre», organisait, dernièrement, à la salle des fêtes de Roques, une journée de sensibilisation consacrée à la prévention et au dépistage du cancer du sein et ce sous le signe de la campagne «Octobre Rose». Les Roqueuses sensibilisées à "Octobre Rose"L'Association «Les Clés du Bien Etre», organisait, dernièrement, à la salle des fêtes de Roques, une journée de sensibilisation consacrée à la prévention et au dépistage du cancer du sein et ce sous le signe de la campagne «Octobre Rose». Une dizaine de femmes est venue assister à l'ensemble de la programmation mais pas assez pour Amandine Ramos, socio esthéticienne, organisatrice de cette campagne sur Roques, au profit de l'Association.
«C'est assez décevant de ne pas avoir plus de femmes venues s'intéresser à ce sujet très sensible qui peut les concerner à tout moment».
Une séance théâtrale «Les Délieuses de Langues» débutera cette journée. Interprétée par la Cie «Les Anachroniques», ce spectacle explorait, avec naturel et humour, les réticences des femmes à faire une mammographie.
Les actrices parleront de l'intime dans le climat de confiance, comment dédramatiser la maladie, rire des excuses qui permettent d'éviter le dépistage. Suivra une conférence animée par le Docteur Artus Albessard, médecin coordonnateur et directeur de DOC31. Celui-ci évoquera le dépistage du cancer du sein et l'esthétique. Il expliquera «qu'un dépistage précoce et les progrès thérapeutiques, diminuent la mortalité de cette maladie, que chaque année, en France, 49 000 femmes sont touchées par ce cancer, le plus fréquent et la première cause de décès chez la femme avec 11 900 décès par an».
La socio-esthétique et ses bienfaits, pratique professionnelle de soins esthétiques auprès des populations souffrantes et fragilisées par une atteinte à l'intégrité physique retiendra l'attention.
Un échange entre le docteur Albeissard et le public provoquera des prises de conscience évidentes.
Valérie Herbulot, présidente du Club Couture de Roques, confectionnant des bandeaux et des foulards qui seront conservés par l'association et redistribués gratuitement aux personnes qui en auront le besoin. Une belle action qui méritait d'être soulignée.
Cette journée s'est terminée par un master de zumba (Association A. Bailar) et autour d'un buffet convivial.
La Dépêche du Midi |
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