|
|
DANS LES MÉDIAS
| | Liberté-Caen - 27 janvier 2011Socio-esthéticienne, Sandrine réconcilie handicap et image de soi L'ACHCP1 (Association Caen Handicap Coup de Pouce Insertion) vient d'ouvrir un nouvel atelier mensuel, la socio-esthétique. Rencontre au cours de cet atelier avec Sandrine Alibrun, socio-esthéticienne diplômée et, surtout, passionnée.
Socio-esthéticienne, Sandrine réconcilie handicap et image de soiL'ACHCP1 (Association Caen Handicap Coup de Pouce Insertion) vient d'ouvrir un nouvel atelier mensuel, la socio-esthétique. Rencontre au cours de cet atelier avec Sandrine Alibrun, socio-esthéticienne diplômée et, surtout, passionnée.
|
| | Varmatin.com - 9 janvier 2011La socioesthéticienne qui fait des miracles Peu connue, mais ô combien nécessaire, la socioesthéticienne intervenant à l’hôpital Marie-José-Treffot offre du bien-être aux personnes malades ou en difficulté. Franca Careri, 50 ans, femme réservée mais généreuse, est cette magicienne La socioesthéticienne qui fait des miraclesPeu connue, mais ô combien nécessaire, la socioesthéticienne intervenant à l’hôpital Marie-José-Treffot offre du bien-être aux personnes malades ou en difficulté. Franca Careri, 50 ans, femme réservée mais généreuse, est cette magicienne qui apaise l’âme. Aide laboratoire, elle investit la moitié de son temps dans cette nouvelle activité depuis 2008
" J’ai eu un gros problème de santé quand j’avais 27 ans, se souvient-elle. J’ai connu la dégradation physique et le découragement liés à la maladie. Mais je m’en suis sortie et j’ai tout de suite voulu me consacrer à de l’humanitaire. Finalement j’ai entendu parler du travail des socioesthéticiennes. "
Valoriser la personne malade Valoriser la personne malade pour l’aider à guérir. Cette idée est née dans les années 1950, sous l’impulsion de Renée Rousière. Une école a été fondée en 1978, à Tours, où l’on prodigue depuis lors des cours d’esthétique à option humanitaire et sociale (Codes), validés par un certificat d’aptitude. Ni une, ni deux, Franca décide de suivre une formation d’esthéticienne avant de s’inscrire au Codes. Un projet personnel accompagné par l’hôpital. " J’ai obtenu mon diplôme et j’ai soumis mon projet à la direction puisque rien n’existait à l’époque. L’idée est de permettre au patient de demeurer humain dans la maladie. L’association Club soroptimist m’a épaulée dans cette démarche et l’aménagement de la cabine d’esthétique. " La direction, soucieuse du bien-être du patient, accueille très favorablement cette nouvelle activité, qui s’inscrit dans la prise en charge du patient et contribue à son moral et son rétablissement.
Des soins non médicaux Quelle est, concrètement, l’action de la socioesthéticienne ? " Elle permet de nouvelles formes de communication et d’expression avec le malade. Il s’instaure alors une relation d’aide avec ces personnes fragilisées, à travers l’organe de la peau. En fait, par le biais de l’esthétique, le temps d’un soin, tous les sens sont stimulés. " Ainsi, par le toucher, et des techniques de modelage (massage), les patients retrouvent leur corps souvent blessé. Par l’odorat, ils s’abandonnent au plaisir des senteurs parfumées et replongent dans leur mémoire... La musique, quant à elle, peut-être relaxante. La vue est également sollicitée par un décor agréable aux couleurs chatoyantes. Enfin, la parole permet l’échange lors d’instants privilégiés. Tous les ingrédients sont réunis pour leur offrir un moment d’évasion. Et découvrir que l’on peut rester belle même dans la maladie (maquillage, perruque, etc.). L’espoir demeure, puisque l’hôpital envisage d’étendre ces prestations au plus vite d’ici à 2012.
Légende photo : Franca Careri est socioesthéticienne à l’hôpital. « Ma modeste expérience m’a permis de prendre conscience de la profondeur de cette bienveillance accordée aux malades. » Dès lors, il y a des sourires, et le regard du malade s’illumine quand il croise le sien.Photo V. L. P.
|
| | La Dépêche du Midi - 29 janvier 2011Des soins de confort et de réconfort Esthéticienne de formation, Florence Bonis s'est spécialisée dans le secteur socio-esthétique. Elle s'adresse aux personnes malades, en soins palliatifs, personnes âgées, en insertion, femmes ou hommes. Des soins de confort et de réconfortEsthéticienne de formation, Florence Bonis s'est spécialisée dans le secteur socio-esthétique. Elle s'adresse aux personnes malades, en soins palliatifs, personnes âgées, en insertion, femmes ou hommes. |
| | La Voix du Nord - 20 août 2010Dominique Sledzianowski, ou l'esthétique au service des personnes fragilisées Depuis quinze ans, Dominique Sledzianowski est socio-esthéticienne. Elle partage son temps entre différentes structures, où la beauté prend une autre dimension. Retour sur un parcours atypique, aux multiples facettes. |
| | NationaleAssociation Pour Un Autre Regard Bien plus que de l'esthétique "pour un autre regard" ! |
|