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DANS LES MÉDIAS
| | L'infirmière Magazine - n°357 - Février 2015La socio-esthétique, une pratique sur-mesure Souvent sensibilisé par la maladie et ses traitements, le corps est au cœur de la prise en charge esthétique proposée par le service d’oncologie de l’hôpital Louis Mourier (AP-HP). Une démarche qui contribue au travail infirmier. La socio-esthétique, une pratique sur-mesureSouvent sensibilisé par la maladie et ses traitements, le corps est au cœur de la prise en charge esthétique proposée par le service d’oncologie de l’hôpital Louis Mourier (AP-HP). Une démarche qui contribue au travail infirmier. LA SOCIO-ESTHÉTIQUE, UNE PRATIQUE SUR-MESURE
Souvent sensibilisé par la maladie et ses traitements, le corps est au cœur de la prise en charge esthétique proposée par le service d’oncologie de l’hôpital Louis Mourier (AP-HP). Une démarche qui contribue au travail infirmier.
Pour pratiquer, une socio-esthéticienne doit être diplômée par un titre reconnu par l’État et doit avoir suivi une formation complète lui permettant d’intervenir auprès de personnes fragilisées. «Après trois ans d’expérience en tant qu’esthéticienne, je me suis formée à la socio-esthétique au CODES (Cours d'Esthétique à Option Humanitaire et Sociale). Durant 8 mois, j'ai suivi la formation dispensée par des professionnels de terrain, au sein du CHRU de Tours, mêlant cours théoriques et stages pratiques dans les secteurs sanitaires, du médico-social ou du social", explique Morgane Bauvais-Ghislain. L’évolution de la maladie cancéreuse entraîne souventdes perturbations de l’estime de soi liées aux multiples changements physiques tels que la pertedes cheveux, des cils, des sourcils,l’altération de la peau ou l’amaigrissement. À l’hôpital Louis Mourier(Hauts-de-Seine), l’accompagnement des personnes fragiliséespasse aussi par la socio-esthétique,une démarche visant à proposerune prise en charge esthétique personnalisée, conjointement aux traitements spécifiques. Destinés tantaux hommes qu’aux femmes, cessoins offrent aux patients un lieud’évasion à travers un toucher nonmédicalisé qui devient vecteurd’apaisement, de détente et, souvent, de communication.
MORGANE BAUVAIS-GHISLAIN - SOCIO-ESTHÉTICIENNE
La socio-esthétique est la pratique professionnelle de soins esthétiques adaptés à une population fragilisée par une atteinte à son intégrité physique (maladie, accident, vieillesse), psychique (maladie mentale, addiction) ou en détresse sociale (précarité, détention). Ces séances permettent auxpatients de reprendre contact avec leur corps, devenu un lieu de soins médicaux, d’examens et de traitements. L’approche sensorielle apportée par la socio-esthétique les amène donc à réinvestir autrement leur corps, et non plus uniquement en tant qu’objet de souffrance ou de maladie.
La peau a une fonction sensorielle.Elle permet un échange avec lemonde extérieur et amène à parlerde soi, même inconsciemment. L’atteinte portée à leur peau et àleur corps, induite par la maladieet les traitements médicaux, amènesouvent les patients à se replier sureux-mêmes, jusqu’à ne plus oser seregarder dans un miroir. Il est doncessentiel de créer un espace adaptéafin de leur procurer une forme de bien-être, de douceur, de confort etde réconfort. Différents soins peuvent être proposés aux patients en fonction de ce qu’ils souhaitent recevoir. Il est important de leur laisser le choix afin qu’ils puissent exprimer leurs désirs et leurs attentes. Pour certains, les séances peuvent être l’occasion d’un vrai lâcher-prise et de détente. Pour d’autres, c’est un espace qui les amène à parler de sujets plus intimes, qu’ils n’osent souvent pas aborder avec leurs proches. Ou tout simplement pour discuterd’autre chose que de la maladie.
Conseils et prévention
Les soins des mains sont souvent proposés en première intention car c’est un moyen de se mettre en lien avec les patients et de créer un climat de confiance. C’est aussi par ce biais que la socio-esthéticienne peut donner des conseils en prévention de l’altération des ongles et de la peau. Les soins du visage et les séances de maquillage favorisent un meilleur confort cutané et aident au réinvestissement de l’image corporelle. Les soins ducorps – modelage du dos, desjambes, soins des pieds – permettent de soulager les patients de certaines douleurs corporelles.Ces pratiques les aident à retrouver des sensations agréables et de renouer avec des sensations de plaisir. Il m’arrive aussi de conseiller les patientes dans le choix des perruques et des couleurs, afin de susciter chez elles l’envie de reprendre soin de leur corps.
Ces soins de confort sont souven tvécus comme un vecteur d’apaisement qui favorise une image de soi positive. La séance est un temps d’écoute privilégié où le patient parle de son rapport à son corps,des effets de la maladie et des traitements.
Expression d’un mal-être
J’ai suivi Mme M. durant plusieurs mois et nous avons pu constater qu’elle s’est rapidement saisie de ces rendez-vous. Dès les premières séances, elle s’est confiée sur sa crainte de partir et de laisser ses enfants. Les soins du visage et le maquillage l’ont aidée à exprimer les difficultés rencontrées. Elle avait notamment du mal à accepter les difficultés liées à son intimité et la perte d’autonomie. C’était une dame très coquette mais, avec sa maladie, elle ne se préoccupait plus de son apparence. Les soins de socio-esthétique lui ont ainsi permis de renouer avec sa féminité.
Elle a, par exemple, demandé à ses proches de lui ramener ses crayons de maquillage et les utilisait désormais le matin après sa toilette. Quant aux modelages des mains, ils lui ont été bénéfiques car elle a pu retrouver des sensations jusqu’ici oubliées.
En touchant à la notion du corps et de sa vulnérabilité, la socioesthétique permet d’accéder à l’intimité des patients, qui profitent du soin pour partager leurs angoisses ou leurs craintes. À la fin de chaque séance, je prépare un travail de transmission dans le dossier des patients afin de laisser une trace écrite. Je fais également un bilan auprès des équipes pour amorcer un travail de réflexion sur une prise en charge plus adaptée. Le dialogue qui s’instaure entre les infirmières et les socio-esthéticiennes permet de verbaliser les difficultés de l’accompagnement.Ce lien apporte une plus grande cohésion et permet d’assurer la transmission des soins pour un meilleur suivi des patients.
MICHELLE NOGUES - INFIRMIÈRE
Du fait de la situation géographique de l’hôpital Louis Mourier, notre équipe mobile d’accompagnement et de soins palliatifs intervient auprès de personnes malades qui sont souvent en grande précarité sociale et familiale. Outre la gestion des symptômes et la prise en charge psychologique,nous veillons aussi au bien-être des patients.Après plusieurs années de réflexion et grâce à la collaboration de l’association La Ligue contre le cancer, nous avons pu mettre en place une vacation de socio-esthéticienne.Cela a nécessité, en amont, un travail d’information auprès des soignants sur la spécificité de son travail et les bénéfices attendus. Morgane a rejoint l’équipe mobile depuis dix mois, à raison d’une vacation de six heures tous les quinze jours. Elle intervient auprès de certains patients sur notre indication et après concertation avec les soignants référents dans les services d’oncologie (hospitalisation classique et hôpital de jour).
Les soins prodigués par les socio-esthéticiennes soulagent les douleurs des patients et leur permettent de renouer avec la sensation de plaisir.
En service hospitalier, la technicité de la prise en charge oncologique–les examens, les traitements, etc.peut entraîner une altération de la relation soignant-soigné, une prise en charge morcelée et non individualisée. Les soins socio-esthétiques replacent le patient au cœur de sa prise en charge, l’aident à se détendre tout en l’amenant à exprimer toutes les difficultés rencontrées face à la aussi un contact non médical avec le patient et facilite l’émergence de difficultés non diagnostiquées,contribuant ainsi à notre travail infirmier. Ces soins se sont également intégrés dans les traitements de support, plus particulièrementen hôpital de jour pour les patientsdébutant le traitement chimiothé-rapique.
La technicité de la prise en charge peut aussi entraîner un cloisonnement des soignants qui aboutit à un manque d’échange entre les médecins, les infirmières et les aides-soignantes. Après quelques mois, les soignants prennent une part active dans l’orientation des patients susceptibles de pouvoir bénéficier d’un soin socio-esthétique. La fonction de l’aide-soignante axée sur le soin du corps se trouve valorisée. Sa parole est prise en compte, ce qui n’est pas toujours le cas dans la technicité des soins. La socio-esthéticienne est considérée comme une partenaire à part entière.
Une plus-value au travail infirmier
Les soins socio-esthétiques ont également eu un impact sur notre mode d’intervention. En effet, les infirmières des équipes mobiles de soins palliatifs ne soignent pas directement les patients mais contribuent à leur prise en charge en dispensant conseils et formation. Ce rôle peut parfois être mal perçu par les soignants directs, qui peuvent se sentir jugés. Cette pratique, basée sur le soin du corps et le bien-être, a permis de créer une nouvelle dynamique dans les liens entre les infirmières de l’équipe mobile et les soignants prenant en charge ces patientes.
Dans le cas de Mme M., nous avons pu observer plusieurs améliorations : un réinvestissement de son image corporelle par le maquillage, un apaisement et un confort à travers les modelages corporels, une diminution des sensations de fourmillements dans les mains et un confort cutané au niveau du visage. Par ailleurs, ces soins ont permis l’instauration d’un dialogue entre les membres de l’équipe soignante, lesquels ont pu verbaliser les difficultés de la prise en charge, notamment émotionnelle.
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| | Ouest France - 28 Janvier 2015Animation à Alençon - L'esthétique pour retrouver l'estime de soi Le cycle de socio-esthétique va durer huit semaines au centre social de la Croix-Mercier. L’objectif annoncé : retrouver le goût de prendre soin de soi. Animation à Alençon - L'esthétique pour retrouver l'estime de soiLe cycle de socio-esthétique va durer huit semaines au centre social de la Croix-Mercier. L’objectif annoncé : retrouver le goût de prendre soin de soi. Animation à Alençon. L’esthétique pour retrouver l’estime de soi
Alençon - 28 Janvier
Le cycle de socio-esthétique va durer huit semaines au centre social de la Croix-Mercier. L’objectif annoncé : retrouver le goût de prendre soin de soi. | Delphine Le Normand/Ouest-France.
Alexandra Fournier-Sillière, socio-esthéticienne, anime une série de rencontres au centre social de la Croix-Mercier. Cinq femmes y participent.
Depuis deux semaines, chaque vendredi après-midi, une petite poignée de femmes se retrouve dans un local du centre social de la Croix-Mercier. Elles y retrouvent Alexandre Fournier-Sillière, socio-esthéticienne. Cette dernière est là pour leur (re)donner le goût de prendre soin d'elles. Autour de thèmes beauté, les participantes se confient, creusent le pourquoi du comment. Elles ont l'âge d'être mère ou grand-mère et avouent s'oublier beaucoup. "Vous allez nous redonner le courage de nous occuper de nous", lance Brigitte.
Le groupe est désormais constitué et n'accueillera pas de nouvelles participantes. "Nous voulons qu'une confiance s'installe entre ces femmes", détaille Claire Lambert, responsable du secteur familles et adultes au centre social de la Croix-Mercier.
Le cycle dure huit séances pendant lesquelles seront abordés les soins du visage, des pieds, les massages, le maquillage, etc. Un bilan sera tiré à la fin du mois de mars.
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| | La Voix du Nord - 21 janvier 2015Noyelles-sous-Lens : derrière le masque, l’autre visage de l’atelier estime de soi Un gommage, une tasse de café, une couche de vernis, un souci dévoilé. Dans l’intimité des séances de socio- esthétique du centre social Kaléido (atelier estime de soi), on partage plus que des secrets de beauté. Bien-être et confiance en Noyelles-sous-Lens : derrière le masque, l’autre visage de l’atelier estime de soiUn gommage, une tasse de café, une couche de vernis, un souci dévoilé. Dans l’intimité des séances de socio- esthétique du centre social Kaléido (atelier estime de soi), on partage plus que des secrets de beauté. Bien-être et confiance en soi passent aussi par les confidences des uns, l’écoute des autres, la complicité de tous.
Noyelles-sous-Lens : derrière le masque, l’autre visage de l’atelier estime de soi
Un gommage, une tasse de café, une couche de vernis, un souci dévoilé. Dans l’intimité des séances de socio- esthétique du centre social Kaléido (atelier estime de soi), on partage plus que des secrets de beauté. Bien-être et confiance en soi passent aussi par les confidences des uns, l’écoute des autres, la complicité de tous.
« Parfois, on pleure toutes, parfois on a toutes un fou rire. » Souvent, les deux s’entremêlent. Chaque mois, le petit groupe d’une dizaine de femmes de 23 à 69 ans se retrouve. Officiellement pour un atelier de socioesthétique avec Dominique, professionnelle diplômée. «On touche à tout ce qui relève du bien-être, de la beauté à tout âge. On travaille autour des idées reçues : on a l’impression qu’il faut beaucoup d’argent pour s’occuper de soi, alors qu’avec des astuces, du troc, etc. » Reste la question du temps. Ici, il s’arrête. Une bulle, un cocon où rien ne compte plus que de se retrouver. « Entre la maison, les enfants, c’est la course… Là, je prends soin de moi, en tenant compte des bons conseils, pas à la va-vite, comme d’habitude », lâche l’une des habituées.
Si les masques hydratants, les massages, le maquillage et autres trucs pour se mettre en valeur occupent les séances, une autre forme de soin se glisse dans chacune des réunions. Retrouver l’estime de soi passe aussi par le partage des petits tracas et grandes joies (et vice-versa), une main sur l’épaule ou une réprimande bienveillante. « Certaines n’avaient jamais été chez le gynécologue, par exemple, lance Carole, l’une des animatrices. On discute, on relance, on y va même en groupe. » À l’autre bout de la table, un sourire. Gêné et amusé.
« Les dames se retrouvent entre elles, parlent problèmes de couple, sexualité, éducation, etc. Il y a un contrat de confiance entre nous : ce qui se passe à l’atelier reste à l’atelier. L’expérience des unes va aider les autres. On n’est pas dans le jugement ou le conseil facile. En aucun cas on ne prend la place d’un psy ou d’un avocat. Mais on peut bousculer les gens, casser des tabous. Le collectif aide beaucoup. »
Ce jour-là, Dominique accorde un massage à chacune des participantes. En attendant, elles se chouchoutent entre elles. L’une s’épanchera sur le harcèlement de son compagnon, l’autre sur ses difficultés judiciaires, certaines évoqueront leur souci de poids, se taquineront sur leur intérêt pour la sexualité, se féliciteront de leur engagement contre la solitude des aînés. « Il n’y a pas de jugement, on trouve toujours une écoute, confie une fidèle. On a toutes des coups durs. Si on a besoin de réconfort, on sait où aller. »
«Venir deux heures ici, c’est mieux que de prendre des antidépresseurs»
– En quoi la socio-esthétique est une porte d’entrée vers d’autres ateliers ?
« Au début, l’atelier estime de soi, c’était la socio-esthétique. Puis la santé s’est développée. Ça revenait souvent dans les discussions. On s’apercevait que les personnes avaient des soucis, ne se soignaient pas. Elles s’occupaient très bien des enfants mais s’oubliaient. On leur demande ce dont elles ont envie de parler et on s’organise, on fait intervenir des personnes qualifiées sur Alzheimer, le diabète, la gynécologie… »
– Puis il y a eu la sophrologie, l’activité physique…
« On a fait découvrir la sophrologie lors d’une séance et on l’a pérennisée à la demande des adhérents. On a même été obligé de faire deux groupes. Et puis, les dames avaient envie d’avoir une activité physique défouloir. Les gens se sentent bien quand ils repartent du centre social. Venir deux heures ici, c’est mieux que de prendre des antidépresseurs. »
– Au-delà des activités, la parole semble avoir une importance particulière.
« On anime, on écoute et on voit si on peut mettre des choses en place. Il faut une certaine confiance, que la parole soit libre. C’est intergénérationnel et interculturel. Il y a des mamans voilées qui enlèvent leur voile pendant l’atelier. C’est fort… Tout ça ne peut se faire que lorsque l’atelier est hermétique, que la porte est fermée. Alors, les langues se délient plus facilement sur des sujets graves. »
Renseignements : centre social Kaléido, 03 21 70 90 20.
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| | France 3 Aquitaine - 15 décembre 2014Un espace de 300 m² à Bordeaux pour le bien-être des personnes atteintes par un cancer C'est un lieu créé par la Ligue contre le cancer et entièrement financé par les dons. Il propose toutes sortes d'activités aux malades, hors soin médical. Sport, relaxation, soins esthétiques pour rompre l'isolement, se redonner confiance et Un espace de 300 m² à Bordeaux pour le bien-être des personnes atteintes par un cancerC'est un lieu créé par la Ligue contre le cancer et entièrement financé par les dons. Il propose toutes sortes d'activités aux malades, hors soin médical. Sport, relaxation, soins esthétiques... pour rompre l'isolement, se redonner confiance et lutter plus efficacement contre le mal. Un espace de 300m2 à Bordeaux pour le bien-être des personnes atteintes par un cancer
C'est un lieu créé par la Ligue contre le cancer et entièrement financé par les dons. Il propose toutes sortes d'activités aux malades, hors soin médical. Sport, relaxation, soins esthétiques... pour rompre l'isolement, se redonner confiance et lutter plus efficacement contre le mal.
L'espace est situé au 6 rue Terrasson à Bordeaux. On y vient sans rendez-vous. Pour chercher des informations de toutes sortes autour du cancer, et participer à des ateliers : Ostéopathie, sophrologie, art thérapie, cours de diététique et de cuisine, sport ... "On sort du cadre hospitalier, du médical" nous explique Guilhaume Coldefy, enseignant en activité physique adaptée, "on essaie de leur redonner goût à sortir de chez eux, par de la marche, à se sentir un peu plus sûrs d'eux".
L'activité physique permet de réduire de 30 à 50 % les récidives. Il est primordial de faire comprendre aux patients qu'il faut changer leur quotidien. Faire du sport, s'occuper de soi, des actions indispensables pour améliorer leur confort de vie. Dans ce centre, tout a été fait pour que les personnes reprennent leur vie en main et retrouvent du plaisir. Retour de l'estime de soi et restauration de son image personnelle permettent un meilleur combat. De récentes études l'ont prouvé.
Au vu du succès de ce centre à Bordeaux, deux autres espaces similaires devraient être créés par la Ligue de Gironde, sur le Bassin d'Arcachon et dans le Libournais. |
| | La voix - 22 Octobre 2014Prendre soin de soi - une socio-esthéticienne à l'épicerie solidaire de Belleville Une socio-esthéticienne est intervenue à l'épicerie sociale "La Passerelle Berrichonne" de Belleville-sur-Loire durant deux jours. Deux journées "test", bien accueillies par les bénéficiaires qui ont pu prendre soin d'elles. Prendre soin de soi - une socio-esthéticienne à l'épicerie solidaire de BellevilleUne socio-esthéticienne est intervenue à l'épicerie sociale "La Passerelle Berrichonne" de Belleville-sur-Loire durant deux jours. Deux journées "test", bien accueillies par les bénéficiaires qui ont pu prendre soin d'elles. |
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