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DANS LES MÉDIAS
| | ARRET SUR IMAGE – Newsletter 2è trimestre 2015 Qui est suivi à DMUM ? La file active de Dessine-moi un mouton Une des pierres angulaires de la prise en charge de DMUM est le travail autour de la parentalité, et de façon plus élargie l’impact de la maladie chronique au sein la famille. Qui est suivi à DMUM ? La file active de Dessine-moi un mouton Une des pierres angulaires de la prise en charge de DMUM est le travail autour de la parentalité, et de façon plus élargie l’impact de la maladie chronique au sein la famille. DMUM prend en charge les enfants, les parents, les adolescents et les jeunes adultes malades chroniques dont le contexte de vie (précarité, violence des parcours de vie, situation d’isolement) handicape la construction identitaire avec la maladie.
Ce contexte de forte précarité touche ces dames et ces jeunes à tous les niveaux :
hébergement ( 1 1 5 ) , alimentation, transports, repères, accès aux droits, organisation, etc. Il inhibe leur capacité à se prendre en charge de manière autonome.
L’autonomie et l’acceptation de la maladie chronique passe par la libération de la parole vis-à-vis de celle-ci, l’éducation à la santé, et le réinvestissement du corps .
Trois axes autour desquels DMUM organise sa prise en charge de soins, au moyen d’un suivi
individualisé mêlant outils thérapeutiques traditionnels (entretiens psychologiques , de santé ) et innovants (pratiques somatiques, socio-esthétique, etc.).
A DMUM, nous considérons que plus la personne est pris en charge jeune, mieux elle comprendra voire s’appropriera sa maladie et maximisera ses chances de « bien vivre avec ». D’où l’accent porté sur l’enfant et le jeune adulte. |
| | NationaleRevivez notre 4ème Congrès avec les podcasts, photos et vidéos Le 03 avril dernier s'est déroulé sous le patronage du Ministère des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des Femmes et le parrainage de l’Institut National du Cancer, Revivez notre 4ème Congrès avec les podcasts, photos et vidéosLe 03 avril dernier s'est déroulé sous le patronage du Ministère des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des Femmes et le parrainage de l’Institut National du Cancer,... le IVème Congrès national de socio-esthétique à l’Institut Pasteur à Paris.
Découvrez ou revivez les meilleurs moments du dernier congrès en écoutant les conférences de nos intervenants dans la rubrique PODCASTS du menu CONGRES 2015.
Vous y trouverez également des vidéos des meilleurs moments et de multiples photos.
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| | BEAUTY FOR A BETTER LIFE - 10 juillet 201511 projets de soins de beauté et de bien-être soutenus par la Fondation L’Oréal La Fondation L’Oréal, en partenariat avec le CODES, organisait le 15 juin dernier, la 7ème édition du Prix Première Chance. 11 projets de soins de beauté et de bien-être soutenus par la Fondation L’OréalLa Fondation L’Oréal, en partenariat avec le CODES, organisait le 15 juin dernier, la 7ème édition du Prix Première Chance. LES MEMBRES DU JURY :
Composés de 6 membres, le Jury s’est réuni autour de la Directrice générale de la Fondation et du Président du CODES.
Cette année, le jury a récompensé 11 structures, dont 1 de façon exceptionnelle, en attribuant à chacune d’elle, une dotation de 20.000€ TTC afin de leur permettre de mettre en œuvre des soins de beauté et de bien-être dispensées par une socio-esthéticienne CODES auprès de publics fragilisés par la maladie ou la précarité.
Depuis plusieurs années, la Fondation L’Oréal s’engage dans le développement des soins de beauté et de bien-être en milieu médical et social, par des socio-esthéticiennes spécialement formées.
Chaque année depuis 2009, le prix Première Chance, permet d’accompagner financièrement une structure médicale ou sociale pour l’aider à intégrer durablement l’activité d’une socio-esthéticienne.
A ce jour, ce sont plus de 32 structures qui ont pu développer cette discipline et l’intégrer au sein de leurs équipes, offrant ainsi des soins à plus de 3 000 femmes.
Cette année, la Fondation L’Oréal renforce son engagement en doublant le nombre de structures aidées. Sur les 69 dossiers de candidatures reçues à la suite de l’appel à projets, 10 projets ont été retenus par le jury. Exceptionnellement, un prix Coup de cœur a été attribué à un 11ème projet lauréat.
DECOUVREZ LES 11 STRUCTURES LAUREATES :
- L’Espace Aquarelle
De l’Hôpital Beaujon propose, au sein du service de Gastroentérologie-Pancréatologie, des actions visant à améliorer le bien-être des personnes hospitalisées au travers d’activités culturelles et de soins du corps.
- L’association Coallia
En partenariat avec le CADA (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile) de Nanterre, œuvre auprès de demandeurs d’asile et leur propose diverses activités pour les accompagner vers la réinsertion.
- La Maison d'accueil Eglantine
Etablissement du CASP (Centre d’Accueil Social Protestant) héberge des femmes enceintes et des femmes avec enfants dans une dynamique d’insertion.
- L’association Dessine-moi un mouton
Accueille, hors de l’hôpital, des adolescents et jeunes adultes atteints d’une pathologie chronique transmissible et les aide à améliorer leur qualité de vie et l’image qu’ils ont de leur corps et d’eux-mêmes.
- L’association Hors la Rue
Intervient auprès d’enfants et d’adolescents en situation d’errance ou de danger en région parisienne et leur propose un accompagnement ponctuel ou de plus longue durée via un centre d’accueil de jour.
- L’association pour la prévention des maladies de la nutrition
Implantée dans le service de diabétologie-nutrition de l’hôpital de Roubaix, propose une prise en charge pluridisciplinaire de l’obésité notamment par une approche psycho-corporelle nécessaire dans le travail sur l’estime de soi et l’acceptation de son corps.
- EMMAUS PEUPINS
Soutient des compagnons et des salariés en insertion sociale et professionnelle via un chantier d’insertion et une friperie.
- Au CHU de Nice
Le service de cancérologie digestive et gynécologique souhaite développer un programme bien-être pour les patients hospitalisés.
- L’association Diaconat de Bordeaux
Accompagne des personnes en situation de grande précarité au travers de services d’accueil, de solutions d’hébergements et de centres de réinsertion sociale.
- Le CSAPA du Centre hospitalier de Draguignan
Accompagne des personnes souffrant d’addictions (alcool, jeux,…) et les aide à retrouver une relation plus apaisée avec un corps qu’elles malmènent avec violence.
- Le Centre hospitalier de la Risle
Accueille et soigne un public particulièrement vulnérable au sein d’un territoire défavorisé dans son unité de soins palliatifs, au sein du service de la PASS (public précaire) et du service d’addictologie.
En savoir plus sur le CODES : www.socio-esthetique.fr |
| | Ouest France - 17 Juin 2015Guingamp. A la mission locale, un atelier L’objectif de cet atelier, mis en place avec une socio-esthéticienne : se mettre en valeur et prendre confiance pour un entretien d’embauche. Guingamp. A la mission locale, un atelier L’objectif de cet atelier, mis en place avec une socio-esthéticienne : se mettre en valeur et prendre confiance pour un entretien d’embauche. Lors de l’atelier, les participantes essaient les couleurs qui leur allaient le mieux, avec la socio-esthéticienne Lydie Tréhorel (à gauche).
Après un premier essai réussi l’an dernier, la Mission locale de Guingamp a renouvelé cette année un atelier « image de soi ». Un atelier destiné aux jeunes de 16 à 26 ans suivis par la structure.
« L’idée est d’avoir une approche positive : prendre soin de soi et se sentir bien dans sa peau, pour s’intégrer et trouver un emploi », explique Janick Le Gallou, conseillère technique en insertion. Pendant l’atelier, Lydie Tréhorel, socio-esthéticienne, évoque la tenue vestimentaire, le maquillage, les accessoires comme bijoux ou lunettes, le look, mais aussi des questions de santé comme l’hygiène, l’anorexie, etc.
Lydie Tréhorel prévient : « l’objectif, c’est de se mettre en valeur. Ce n’est pas du relooking ! »
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| | La dépèche du midi - Mai 2015Socio-esthéticienne : des brins de bonheur au bout des doigts Christelle Chapuis est socio-esthéticienne. Elle intervient, via la Ligue contre le cancer, auprès de malades atteints par un cancer. Du bout des doigts, cette «magicienne» arrive à redonner le sourire et surtout l'envie de continuer la lutte. Socio-esthéticienne : des brins de bonheur au bout des doigtsChristelle Chapuis est socio-esthéticienne. Elle intervient, via la Ligue contre le cancer, auprès de malades atteints par un cancer. Du bout des doigts, cette «magicienne» arrive à redonner le sourire et surtout l'envie de continuer la lutte. Christelle Chapuis en visite au siège de la Ligue contre le cancer à Agen, avec Julie Ruchaud, chargée de communication et Eléonore, stagiaire.
A 18 ans, lorsque Christelle Chapuis passe son brevet d'esthéticienne, elle est bien sûr loin de se douter qu'un jour, elle ira maquiller des dames sans cheveux, à la peau ternie par un trop-plein de produits chimiques injectés directement dans les plus grosses veines du corps. Et qu'elle aimerait ça ! «Ce métier me tient vraiment à cœur», confie-t-elle. «La plus merveilleuse des récompenses, c'est le sourire des femmes à la fin du soin». Trois fois une heure, c'est ce qui est proposé aux malades pour une année. La Ligue contre le cancer finance, la Carsat est partenaire. Trois heures, cela ne semble pas grand-chose pour soulager un peu tant de souffrances, mais c'est déjà énorme. En Lot-et-Garonne, il y a peu de socio-esthéticiennes. «J'interviens dans différents établissements», poursuit Christelle Chapuis, «en maison de retraite à Condom, Mézin, en milieu hospitalier à Nérac, Condom, pour des associations comme Arpège à Auch, et à domicile avec la Ligue sur une partie du département. Une autre socio-esthéticienne, Mylène, intervient elle aussi sur les autres secteurs.» Une heure de modelage du visage, des bras, des jambes, «apporte cette sensation de bien-être qui change la journée». Parfois c'est juste les pieds ou les mains. «Certaines personnes ne supportent pas qu'on touche leur corps autre part que les mains ou les pieds. Mon but est de les soulager, je suis entièrement à leur écoute. Et je ne parle jamais de maladie, ce n'est pas mon rôle. Parfois, je ne sais même pas de quel cancer il s'agit. Si elles ont envie d'en parler, je les écoute. Sinon, on parle d'autre chose». Madame L. qui apprécie les interventions de Christelle, explique : «Elle m'apporte du bien être sur le plan personnel, de la gaieté, je retrouve une vie comme avant. C'est un moment de joie que je n'avais plus. Grâce à son sourire, sa bonne humeur, elle m'apporte un peu de bonheur, elle prend soin de moi». Christelle Chapuis était esthéticienne dans une précédente vie. Après une formation spécifique au Codes à Tours, là voici socio-esthéticienne. Pour dames, pour hommes, pour toutes celles et ceux qu'une simple caresse parfois peut aider à repartir. Depuis le début de l'année, une vingtaine de personnes ont bénéficié gratuitement des prestations d'une socio-esthéticienne via la Ligue contre le cancer.
>Renseignez-vous au 05 53 66 08 34.
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